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Oriabel
 
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Messagede Oriabel » Ven Fév 29, 2008 8:42 am

J'ai rassemblé divers éléments afin de constituer une base pour la rédaction d'une charte de sécurité. J'y ai intégré certains éléments déjà mentionnés dans d'autres posts ici même. Toutes vos remarques sont les bienvenues, pour compléter, ôter, modifier...

Bonne lecture [img]images/icones/icon15.gif[/img]



I - Sécurité dans les campements

- contrôle des présents : à Hastings, chaque participant devait avoir en se possession une carte de validation comportant le nom, le rôle, le camp, les éléments historiques (contrôle du kit) et les éléments militaires (contrôle des compétence pour des armes données). Cette carte est exigée pour l'entrée dans le campement et sur le champ de bataille.

- pas de feux libres sans surveillance

- des moyens de luttes disponibles proches de chaque feu (extincteurs plutôt que seaux d’eau sauf si nous sommes sûrs de ne pas avoir de feux gras)

- des tentes écartées d’au moins deux mètres du feu

des points de secours clairement identifiés. De plus chaque troupe dispose au moins d’une pharmacie. S'assurer d'une bonne communication (être sûr que l’on est pas hors réseau gsm), avoir prévenu les autorités (et en particuliers les pompiers), éventuellement avoir un groupe secouriste sur place (pas gratuit)… ou au moins des personnes compétentes…

- isolement des chevaux. Aucune approche par des personnes non habilitées.



II – Sécurité dans les combats.

A - Contrôles divers avant l'engagement

La question se pose du modus operandi de ces contrôles. Je pense qu'on peut envisager deux étapes, la première ayant lieu dès l'installation des campements. Je suggère que des contrôleurs soient désignés du côté des organisateurs chargés de rencontrer le chef de camp de chaque campement ou troupe, officiellement inscrit en tant que tel. Cela facilitera la communication. De même, ces chefs de camp seraient les personnes à convoquer au moment des briefings.

A l'entrée sur le champ de bataille sont vérifiés :

- l'état du combattant (exclusion des imbibés et stupéfiés). Une bonne condition physique est exigée. Berthramm préconise de demander un certificat médical de non-contre indication à l'effort.

la présence du kit-protection minimum exigé surtout pour les simples piétons : gambison, casque, gants...A ce sujet il faudra déterminer ce que nous autorisons comme digressions à l'historicité.

- l'état des armes : absence d ’ébréchure ou de zone de fragilité (y compris les manches de hast pour éviter les tringles à rideaux), absence de rouille sur les lames, propreté de la lame, pour les épées tranchant supérieur à 2 mm, pointe arrondie (pièce de 10 ct d'euros), pointe de lance bluntée, hache non tranchante, absences de clous ou pointes dépassant sur les boucliers

Je serai d'avis de n'autoriser qu'une seule arme offensive par combattant piéton. Si nous avons des archers la puissance de l’arc doit être contrôlée ainsi que l’empennage des flèches et la validité des blunts.

B - Les règles d’engagement et leur contrôle

Au sujet des combattants à pied :

- coups maîtrisés, retenus
- interdire les frappes au dessus de la poitrine, même sur le bouclier
pas d'engagement dans le dos
frappe à la lance en coups descendants, manche sous le bras
maniement à deux mains des lances depuis la seconde ligne (à discuter)

Au sujet des cavaliers :

entraînement des cavaliers
engagement dans des phases scénarisées
engagement avec des piétons ultra préparés

Contrôle des règles :
Ces régles doivent être contrôlées sur le terrain pendant l'engagement. L'expérience d'Hastings peut nous servir. Des personnes y contrôlaient en permanence :
- le respect du scénario qu’ils connaissait parfaitement y compris dans le placement des troupes en fonction de repères pris sur le terrain.

- le respect des règles d’engagement, avec un système de « cartons » (comme au foot), avertissement sans frais, puis éviction de la personne (si elle n’obtempère pas c’est l’ensemble du groupe qui est exclu définitivement pas de la bataille mais de la manifestation)…

- le contrôle de la sécurité accident avec un système de sifflet (pour des petits groupes) ou de corne de brume pour un arrêt immédiat de la bataille en cas de gros pépins (le signal étant connu de tous les participants).

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Beneoit
 
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Messagede Beneoit » Lun Mar 03, 2008 1:16 pm

Beau boulot, çà me semble très bien et très complet!

pour le nombre d'armes, c'est une bonne idée d'en limiter le nombre par combattants ; je pense qu'il est néanmoins possible d'en autoriser 2 (typiquement épée ou dague et arme d'hast) sous réserve que l'arme courte comporte un fourreau. a voir pendant les manœuvres si on ne se prend pas les pieds dedans

pour la lance je suis totalement d'accord. on a essayé différentes techniques avec Colin et Goupil, et la plus sûre selon nous est de bloquer la lance sous le bras au moment de la frappe (les Fratres nous avaient parlé de cette technique pendant la rencontre de février). lorsqu'on place la lance sur l'écu, on contrôle beaucoup moins et en plus avec la fatigue le bras a tendance à descendre ce qui fait que la pointe monte. Cette technique me paraît donc dangereuse

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Bouchard
 
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Messagede Bouchard » Mar Mar 04, 2008 12:22 pm

Je ne suis pas pour la présence de dague. Ce type d'arme a la facheuse tendance à tomber vaec soit la pointe soit les quillons vers le haut. En cas de chute dessus c'est l'empalement assuré. :gla:

Peut on penser à l'usage d'hasts de tranche maniés uniquement du haut vers le bas ? (en deuxième ligne, derrière les lanciers par exemple).

Penser aux porteurs d'eau également, ça peut servir [img]smile/hapface01.gif[/img]
Othon, l'empereur normal.

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Messagede Le Goupil » Mar Mar 04, 2008 4:23 pm

Bouchard a dit : Je ne suis pas pour la présence de dague. Ce type d'arme a la facheuse tendance à tomber vaec soit la pointe soit les quillons vers le haut. En cas de chute dessus c'est l'empalement assuré. :gla:

Je suis de cet avis !

Peut on penser à l'usage d'hasts de tranche maniés uniquement du haut vers le bas ? (en deuxième ligne, derrière les lanciers par exemple).

Là, moins, parce que (oui oui, je pense bien à ma hache ! ;) , ça limiterait drôlement les possibilités !
Les français sont laids ! La coalition, c'est bon !

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Gari
 
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Messagede Gari » Ven Mar 28, 2008 8:09 am

Dans le genre "pas du tout histo", je conseille fortement le port de la coquille pour ces messieurs.
Par expérience, je sais que ça sert rarement, mais que quand on entend un gros "poc" sonore provenant de la rencontre accidentelle d'une lame et de la coquille, ben on est 'ACHEMENT content de la porter :)
Je la porte à chaque entrainement d'escrime (2 par semaines) et ça ne m'a jamais gêné (cela ne m'interdit aucun mouvement).

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Le Goupil
 
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Messagede Le Goupil » Mar Nov 25, 2008 5:51 pm

Hello les gens.
Bon, voici une première proposition de charte de sécurité made in Lorregne envisageable pour les combats menés lors de rencontres du collectif.
Bien sûr, tout est sujet à débat ou discussion.
L'objectif est de penser à tout, même si certaines recommandations semblent couler de source, et d'exprimer le tout de manière claire.
A vos claviers !!



*********


[g]Proposition de charte de sécurité des combats
pour le collectif Bouvines 1214
[/b]


Il convient, avant tout affrontement individuel ou collectif, de s’assurer d’avoir à disposition un téléphone chargé et une trousse de premiers secours. La présence d’au moins une personne titulaire d’un brevet de secouriste lors des rencontres armées du collectif est souhaitée.
Quelle que soient l’arme utilisée, les protections portées par l’adversaire et le type de combat engagé, tous les coups doivent être maitrisés. Toute personne appuyant trop ses coups se verra interdire la participation aux combats. Toute personne ne respectant pas les règles de sécurité adoptées par le collectif Bouvines 1214 n’aura plus l’autorisation de combattre et pourra même, après accord des responsables, être exclue du collectif.


[g]1- Les combattants[/b]

Les combattants souhaitant participer à des affrontements personnels ou à des mêlées au sein du collectif doivent impérativement être majeurs et à jour d’assurance responsabilité civile. Ils doivent présenter une condition physique suffisante pour ne pas risquer de se mettre en danger ou de risquer de blesser les autres, et ne doivent pas être sous l’emprise d’alcool ni d’aucun produit stupéfiant ; un combattant jugé trop fatigué ou sous l’emprise d’un produit nuisant à ses réflexes ou à sa lucidité pourra se voir refuser tout combat par les responsables du collectif.
Chaque combattant désirant prendre part au combat est personnellement responsable de ses actes. Le collectif ne pourra en aucun cas être tenu pour responsable d’une blessure survenue au combat. Dans le cas de combattants membres de troupes constituées, le règlement interne au collectif Bouvines 1214 prévaudra sur celui de la troupe en question.
Tous les combattants doivent faire preuve de maîtrise et de sang-froid, ainsi que d’une certaine expérience dans le maniement de leurs armes. Les combattants trop inexpérimentés ou jugés dangereux par les responsables du collectif se verront interdire toute confrontation armée, individuelle ou collective. Il conviendra en aval, dans le cas des membres de troupes constituées, que les responsables des différentes troupes veillent au niveau de maîtrise de leurs combattants. Chacun doit également être capable de refuser toute confrontation potentiellement dangereuse (fatigue, montée d’adrénaline, etc.).
Il est conseillé aux combattants d’enlever bracelets et boucles d’oreilles pendantes, même cachés, qui risquent d’aggraver des blessures bénignes ; surtout, il est vivement recommandé d’enlever toute bague ou anneau avant de combattre, au vu du risque élevé de prendre des coups pouvant écraser les anneaux, ce qui peut amener, dans les cas les plus graves, à l’amputation du doigt.
Les chevaliers sont personnellement responsables du comportement de leur monture durant les combats, et doivent avoir une pratique de l’équitation suffisante et validée par les cavaliers les plus expérimentés du collectif.


[g]2- Les armes[/b]

Les armes de tout type (épées, lances, haches, etc.) doivent avoir été spécifiquement fabriquées pour le combat sécurisé par des artisans ou fabricants spécialisés (pas de véritables fers de hache émoussées, pas de pelles transformées en fers de lance, pas de barre à mine pressée et meulée, etc.). Elles doivent avoir des pointes arrondies, avec une courbe équivalant au moins à celle d’une pièce de 1 centime d’euro. Les tranchants doivent avoir une épaisseur supérieure à 2 mm. Les armes ne doivent présenter aucune trace de soudure. Les bavures doivent être retirées des lames avant chaque confrontation.
Pour des raisons de sécurité, les dagues et autres armes courtes ne pourront être utilisées pendant les mêlées.
Les responsables du collectif pourront à tout moment vérifier la conformité des armes destinées à être utilisées en duels ou en mêlées. Un contrôle général des armes sera organisé en début de rassemblement ou avant un engagement collectif.
Il sera proscrit de porter sur soi toute autre arme que celle employée pour le combat, les chutes sur une arme d’appoint portée à la ceinture ou se plantant dans le sol en tombant risquant de provoquer des blessures.
Les boucliers étant dès le départ soumis au cahier des charges historiques, il ne semble pas utile d’en préciser les spécificités morphologiques ou techniques. Il conviendra toutefois de s’assurer qu’aucun clou ou rivets ne soit trop saillant.
Les arcs devront avoir une puissance limitée. Les flèches devront être munies de blunts en caoutchouc plein, collés, et montés seuls sur les fûts (pas de bouchon de liège, pas de blunt plastiques recouvrant une pointe en fer, etc.). Les tirs tendus seront proscrits. Les tirs en cloche ne pourront s’effectuer que durant certaines périodes bien précises du déroulement de la bataille, en prévenant les piétons pour qu’ils puissent se protéger le visage et en ne tendant pas les arcs complètement. Il sera interdit de tirer en direction des chevaliers pour ne pas risquer d’effrayer les chevaux.


[g]3- Affrontements collectifs – mêlées[/b]

Les affrontements collectifs (mêlées) devront se dérouler sur un espace clairement défini, sur un terrain praticable, stable, pas trop glissant ni accidenté. Dans le cas d’un déroulement de la bataille en présence de public, le terrain devra être clos, et les combats se dérouleront à une distance de sécurité des clôtures d’au moins 5 m.
Un poste sécurité devra être disposé à distance raisonnable du site et son emplacement devra être connu de tous les participants.
Des arbitres désignés par les responsables du collectif et dont le nombre sera à définir en fonction du nombre de participants à la bataille seront chargés de surveiller le bon déroulement des combats. Ils devront s’assurer que les combattants sont correctement protégés, que leurs armes sont conformes au règlement, et qu’ils ne présentent pas un état d’ébriété, de fatigue ou d’agressivité manifeste. Ils pourront à tout moment arrêter un combat dans le cas ou l’un des combattants ne respecterait pas le règlement du collectif, appuierait trop ses coups, se montrerait dangereux d’une façon ou d’une autre ou en cas de blessure. Le cas échéant et selon la gravité du geste, ils pourront simplement avertir le fautif ou l’exclure définitivement du champ de bataille. Il conviendra de définir un signe distinctif permettant l’identification rapide de ces arbitres sans nuire au visuel historique de la bataille. Il semble indispensable que ces arbitres portent au moins une protection à la tête. En cas de blessure importante d’un combattant ou d’une situation générale jugée trop dangereuse, ils pourront décider de mettre fin à la mêlée. Ils devront être munis d’un instrument sonore (trompe, sifflet, etc.) leur permettant de mettre fin à la bataille par un signal connu de tous les participants. Leurs décisions ne seront sujettes à aucune discussion durant la bataille.
Les combattants devront être revêtus de l’ensemble des protections définies par le cahier des charges du collectif : casques et cales rembourrés, hauberts et chausses de maille pour les chevaliers, haubert pour les sergents, gambisons rembourrés pour les simples piétons. Dans le cas des gambisons, et bien que leur présence ne soit pas clairement attestée pour le début du XIIIe siècle, il est nécessaire de protéger les mains par des mitons gamboisés ou des mitons ou gant de cuir épais, cette partie du corps étant particulièrement exposée aux coups. Le port d’une coquille discrètement cachée sous les braies est envisageable mais non imposé.
Tous les coups doivent être maitrisés et portés sans intention de blesser. Les coups à la tête et au visage sont totalement proscrits, même maitrisés. Les coups dans le dos ne peuvent être portés que sur des zones protégées et doivent être particulièrement maitrisés. Les coups d’estoc sont strictement interdits au dessus d’une ligne située à hauteur des aisselles, ainsi que sur toute zone du corps non protégée. Dans le cas des combats à la lance maniée à une main avec bouclier, celle-ci devra être tenue sous le bras et non sur le bouclier, afin d’éviter tout mouvement pouvant en faire remonter le fer vers le visage de l’adversaire.
Aucun coup, même retenu, ne devra être porté sur un cheval, sauf dans le cas de cascades prévues et dûment répétées entre les protagonistes.
En cas de réactions incontrôlées d’un cheval, l’affrontement devra être suspendu par les arbitres jusqu’au retour au calme de l’animal ou au départ du chevalier qui ne pourrait maitriser sa monture.
Les civils liés au collectif (comme les porteurs d’eau) pourront se tenir dans l’enceinte du champ de bataille mais devront rester à distance des combats pour éviter tout coup ou projection d’arme involontaire. Ils ne doivent pas traverser le terrain durant les combats. Un combattant souhaitant s’hydrater devra s’éloigner des combats pour aller vers eux.
Un briefing sera organisé avant et après chaque mêlée pour discuter de problèmes éventuels ou sanctionner des comportements irresponsables ou dangereux.

[g]
4- Confrontations individuelles
[/b]

Les affrontements individuels, en dehors du cadre de la bataille sont soumis à un règlement moins strict, surtout entre combattants particulièrement expérimentés ou habitués à travailler ensemble.
Toutefois, il est conseillé de les pratiquer sur un terrain praticable, stable, pas trop glissant ni accidenté, et à distance de spectateurs, public ou membres du collectif, éventuels. En cas de combats jugés trop dangereux, les responsables du collectif se réservent le droit de mettre fin aux affrontements.
Les combattants devront se protéger au moins les mains et la tête. Le port du maximum de protections possible est toutefois conseillé.
Les coups doivent être maitrisés et portés sans intention de blesser. Les coups au visage sont totalement proscrits, même maitrisés. Les coups à la tête pourront être autorisés ou non selon le choix des combattants, mais doivent toujours être particulièrement maitrisés. L’autorisation de l’estoc se fera d’un commun accord entre les deux combattants.
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Messagede laure de tolosa » Mar Nov 25, 2008 6:29 pm

Bravo !!!

Je trouve cette charte vraiment excellente. Claire et concise.

J'en profite pour dire que chez les Fratres, on travaille depuis quelques mois maintenant (suite aux remarques très constructives échangées avec les Lorrains) sur une position de la lance, dite "lance basse" : le fer se trouvant sur le côté du bouclier et dans son tiers inférieur.
Les phases d'approche (à plus de 20 mètres) sont faites "lances hautes" pour garantir une certaine cohérence au niveau des manoeuvres, puis l'odre "lances basses" tombe, et nos piétons - simultanement, le mouvement d'ensemble est sympa- se mettent en position de sécurité.

Peut-être faudrait-il ajouter une précision sur les fers de hache ? (éviter de véritables fers simplement émoussés pour la reconstit').

Merci encore pour ce travail !

EDIT: ah oui !
Et ils manqueraient ptet deux trois pti détails sur les cavaliers (comme l'obligation de stopper sa monture à au moins 5 mètres des lignes, verification des fers, présence de protections anochroniques ou pas pour les montures, papiers des chevaux, vaccins à jour, assurances, voire contrôle vétérinaire etc.)

Je veux bien rédiger la charte pour les chevaux/cavaliers avec les Lorrains si vous le souhaitez ?
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Messagede Le Goupil » Mar Nov 25, 2008 6:33 pm

laure de tolosa a dit : (...)
Peut-être faudrait-il ajouter une précision sur les fers de hache ? (éviter de véritables fers simplement émoussés pour la reconstit').
(...)

Oui, c'est juste ! Je rajoute ça tout de suite !
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Messagede Le Goupil » Mar Nov 25, 2008 6:39 pm

Voilà, du coup, j'ai rajouté quelques précisions techniques sur les armes et leur fabrication !
;)

par contre, je ne sais pas comment quantifier le poids des armes. De même, il est question de limiter la puissance des arcs, mais Benoit et moi ne savons pas quel chiffre proposer. Il faudrait en discuter avec des archers expérimentés...
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Messagede Le Goupil » Mar Nov 25, 2008 7:04 pm

laure de tolosa a dit :
(...)
Et ils manqueraient ptet deux trois pti détails sur les cavaliers (comme l'obligation de stopper sa monture à au moins 5 mètres des lignes, verification des fers, présence de protections anochroniques ou pas pour les montures, papiers des chevaux, vaccins à jour, assurances, voire contrôle vétérinaire etc.)
Je veux bien rédiger la charte pour les chevaux/cavaliers avec les Lorrains si vous le souhaitez ?

Bah j'ai certes mis quelques remarques concernant les cavaliers, mais Ben et moi n'étant pas cavaliers, nous ne sommes pas en mesure de travailler sérieusement sur la question ! Donc nous laissons la main aux responsables du collectif pour désigner un ou plusieurs cavalier(s) expérimentés pour plancher sur le sujet...
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Messagede Le Goupil » Mar Nov 25, 2008 9:34 pm

Bon, pour les archers, j'ai prévu le coup parce que je croyais toujours la question en suspens. La question a été souvent posé sans que je me souvienne d'un refus clair et net.
Concernant les interractions entre chevaliers et piétons, quand je parle d'affrontements collectifs, ça concerne autant les mêlées libres que la reconstitution de bataille, c'est bien pour ça que j'ai mentionné les cascades dûment répétées.
'oilà chef !
;)
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Messagede Oriabel » Mar Nov 25, 2008 9:35 pm

Merci les Lorrains ! c'est clair net et précis...Juste un terme à changer par ci par là, celui de chevalier auquel on préfèrera celui de cavalier.

Sinon, comme Isarn, le précise plus haut, les interventions des cavaliers et des piétons concernés par les saynettes se feront de manière isolée par rapport au reste de la mêlée. C'est plus sûr ainsi...

Ca avance :top:

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Messagede Isarn » Mar Nov 25, 2008 9:38 pm

Très bon boulot !!!

Quelques remarques :

- il n'a jamais été question (dites moi si je me trompe) d'intégrer des archers dans le projet (leur présence lors de la bataille n'étant pas clairement attestée et leur cohabitation avec des chevaux pas très sécurisante),

- pour moi (mais je peux me planter) il n'était pas question non plus que les chevaliers prennent part à des mélées libres. Pour moi, toutes les intervention armées des cavaliers doivent être scénarisées, par mesure de sécurité (c'est à dire répétées avec des piétons).

Laure, si tu veux rédiger quelque chose sur les chevaux et cavaliers, tu peux ... inutile néanmoins d'en faire des pages, faut rester concis pour être lus :top:

Néanmoins, le temps presse, le site doit être en ligne cette semaine ou la suivante ...
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Messagede Yvan de Tergate » Mer Nov 26, 2008 8:01 am

Excellent travail ! Mais un poil longuet quand même. Il doit être possible de raccourcir un peu, histoire de ne pas décourager les gens à le lire. Un exemple parmi d'autres : inutile de redéfinir les équipements de sécurité à porter dans la charte en fonction du statut. Un simple renvoie vers le cahier des charges est suffisant.

La présence d'archers n'est pas attesté, mais la présence des arbalétriers ne fait aucun doute. La question a déjà été soulevée et il en est ressorti qu'on pourrait intégrer des tirs tendus en respectant un protocole de sécurité à définir. Cela uniquement dans les séquences scénarisées probablement. Mais c'est sans doute un point sur lequel on peut travailler ultérieurement.
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Messagede Beneoit » Mer Nov 26, 2008 10:06 am

Super Goup! Tu l'as encore améliorée je trouve.

Isarn a dit :
- il n'a jamais été question (dites moi si je me trompe) d'intégrer des archers dans le projet (leur présence lors de la bataille n'étant pas clairement attestée et leur cohabitation avec des chevaux pas très sécurisante)


pour cette première mouture, 2 solutions:
-soit : s'en tenir à qque chose de général sur les arcs et arbalètes, au cas ou il y en aurait (juste ajouter "arbalète" et "carreau" au paragraphe). Pour éviter les dégât collatéraux sur les chevaux : les tirs d'arc ou arbalète ne pourront avoir lieu si des chevaux sont présents sur le champ de bataille.
-soit, + simple, pour le moment : "Pas d'armes de jet". Si la question évolue, on pourra rajouter ce paragraphe en prévoyant ce qu'il faut pour les arbalètes et éventuellement arcs.

Pour les chevaux, idem, on n'est pas compétents donc on laisse cette partie aux chevaliers!

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